Assurance maladie

 

LAMal

Le choix entre la LAMal (Loi sur l’Assurance Maladie) Suisse et la CPAM (Caisse Primaire d’Assurance Maladie) Française se fait principalement pour des raisons de coûts. Selon le «revenu fiscal de référence» le choix de l’un ou de l’autre peut affecter fortement vos finances. La LAMal a une prime fixe alors que la CPAM se base sur un peu moins de 8% du revenu imposable.

Lorsqu’un Suisse s’installe en France ou un Français commence une activité en Suisse, le droit d’option est irrévocable. Il ne suffit pas de se baser sur la situation actuelle mais aussi sur celle attendue. Exemple : un salarié démarre son activité avec un faible revenu et choisit ainsi la CPAM. Avec le temps, il voit ses revenus imposables augmenter et doit payer des primes plus élevées qu’avec le choix de la LAMal.

A noter que la Famille d’un frontalier doit aussi se conformer à ce choix et que la seule franchise adulte possible est de CHF 300.- dans la LAMal. Ainsi, la CPAM sera la plupart du temps conseillée à une famille avec enfant(s).

Attention à faire votre choix dans les 3 mois qui suivent l’évènement ou la LAMal affilie d’office.

Nous vous conseillons sur votre droit d’option et les couvertures à souscrire.

Complémentaires LCA

La CPAM comme la LAMal sont des assurances de base ne couvrant que le strict minimum. Il est ainsi indispensable d’avoir de bonnes complémentaires (mutuelles) qui permettent de compenser les lacunes de celles-ci.

Des complémentaires spécifiques existent pour les Frontaliers pour une couverture en Suisse comme en France. Elles sont proposées par des institutions Françaises exclusivement. Nous recommandons 3 complémentaires efficaces parmi la multitude de couvertures existantes :

Ambulatoire : Urgences, médicaments non pris en charge par la LAMal, vaccins, lunettes, prise en charge à l’étranger, etc…

Hospitalisation : Choix de l’établissement, choix du chirurgien, choix du spécialiste, choix de la date d’un traitement planifié, etc…

Médecine alternative : Ostéopathie, acupuncture, réflexologie, bien-être, massage traditionnel, etc…

Combinées, ces complémentaires donnent souvent droit à des prestations supplémentaires telles que des participations à un abonnement de fitness ou d’autres sports, à la préparation à l’accouchement, aux check-up et bien d’autres.

En revanche, il est essentiel de souscrire à toutes les complémentaires nécessaires lorsque nous sommes encore jeunes et en bonne santé. Pour toute souscription à de tels produits, un questionnaire de santé est obligatoire. Les assureurs peuvent accepter une souscription de complémentaire avec des conditions aggravantes (réserves), voir refuser si l’état de santé ne convient pas.

Assurance maladie

 

LAMal

Le choix entre la LAMal (Loi sur l’Assurance Maladie) Suisse et la CPAM (Caisse Primaire d’Assurance Maladie) Française se fait principalement pour des raisons de coûts. Selon le «revenu fiscal de référence» le choix de l’un ou de l’autre peut affecter fortement vos finances. La LAMal a une prime fixe alors que la CPAM se base sur un peu moins de 8% du revenu imposable.

Lorsqu’un Suisse s’installe en France ou un Français commence une activité en Suisse, le droit d’option est irrévocable. Il ne suffit pas de se baser sur la situation actuelle mais aussi sur celle attendue. Exemple : un salarié démarre son activité avec un faible revenu et choisit ainsi la CPAM. Avec le temps, il voit ses revenus imposables augmenter et doit payer des primes plus élevées qu’avec le choix de la LAMal.

A noter que la Famille d’un frontalier doit aussi se conformer à ce choix et que la seule franchise adulte possible est de CHF 300.- dans la LAMal. Ainsi, la CPAM sera la plupart du temps conseillée à une famille avec enfant(s).

Attention à faire votre choix dans les 3 mois qui suivent l’évènement ou la LAMal affilie d’office.

Nous vous conseillons sur votre droit d’option et les couvertures à souscrire.

Complémentaires LCA

La CPAM comme la LAMal sont des assurances de base ne couvrant que le strict minimum. Il est ainsi indispensable d’avoir de bonnes complémentaires (mutuelles) qui permettent de compenser les lacunes de celles-ci.

Des complémentaires spécifiques existent pour les Frontaliers pour une couverture en Suisse comme en France. Elles sont proposées par des institutions Françaises exclusivement. Nous recommandons 3 complémentaires efficaces parmi la multitude de couvertures existantes :

Ambulatoire : Urgences, médicaments non pris en charge par la LAMal, vaccins, lunettes, prise en charge à l’étranger, etc…

Hospitalisation : Choix de l’établissement, choix du chirurgien, choix du spécialiste, choix de la date d’un traitement planifié, etc…

Médecine alternative : Ostéopathie, acupuncture, réflexologie, bien-être, massage traditionnel, etc…

Combinées, ces complémentaires donnent souvent droit à des prestations supplémentaires telles que des participations à un abonnement de fitness ou d’autres sports, à la préparation à l’accouchement, aux check-up et bien d’autres.

En revanche, il est essentiel de souscrire à toutes les complémentaires nécessaires lorsque nous sommes encore jeunes et en bonne santé. Pour toute souscription à de tels produits, un questionnaire de santé est obligatoire. Les assureurs peuvent accepter une souscription de complémentaire avec des conditions aggravantes (réserves), voir refuser si l’état de santé ne convient pas.

Prévoyance

 

3ème pilier

Le 3ème pilier, aussi appelé prévoyance privée, se distingue en deux types:
le 3a, dit «lié», et le 3b, dit «libre».

Calculez vos besoins en prévoyance

Le 3a, comme la LPP, ne peut être retiré avant l’âge de la retraite sauf pour 6 raisons: l’achat d’un logement, dans les 12 premiers mois d’ouverture d’une raison individuelle, en cas d’invalidité, en quittant définitivement la Suisse ou aussi, 5 ans avant l’âge de la retraite pour l’anticiper (en cas de décès les capitaux reviennent aux héritiers).

Grâce à notre Robot Advisor Prévoyance, vous pouvez calculer votre besoin approximatif en prévoyance.

Deux institutions nous permettent de faire un 3ème pilier : La Banque et l’Assurance.

Pour atteindre cet objectif il faut épargner plus ou moins longtemps. Durant ce laps de temps, il se passera une multitude d’évènements de la vie courante qui pourrait mettre à mal cette épargne. Il est donc important de relever plusieurs points entre ce que peuvent proposer ces deux entités.

La sécurité :
En Banque, s’il arrive une incapacité de travailler, il ne sera certainement pas possible de continuer l’épargne et personne ne s’en chargera. L’objectif ne sera donc pas atteint.

En assurance, dans une situation similaire, c’est elle qui couvrira le paiement des primes; vous garantissant ainsi d’atteindre l’objectif. Il est aussi possible, si la situation le demande, d’ajouter une rente en cas d’incapacité de travailler et un capital en cas de décès.

La flexibilité:
En Banque, l’avantage est de pouvoir procéder à des versements très flexibles. Si une année est propice à l’épargne ou non, il est possible d’adapter en conséquence.

L’Assurance, quant à elle, demande une certaine régularité. Il est donc important de sélectionner un montant proche de l’objectif demandé, mais qui soit assumable tous les mois. Naturellement, il est en tout temps possible d’augmenter cette épargne. Mais une augmentation d’un 3ème pilier en assurance est soumise à un questionnaire médical. Comme pour les assurances maladies complémentaires, les assureurs peuvent ainsi accepter à des conditions aggravantes (réserves), voir refuser si l’état de santé ne convient pas.

Il est aussi possible de le diminuer. Mais attention aux valeurs de rachat. En effet, durant les premières années, l’assurance doit mettre des réserves considérables de côté sur les cotisations pour garantir tous les risques (mutualisation). Ce n’est que les années suivantes que l’assurance pourra redistribuer petit à petit ces réserves non utilisées sous forme «d’excédents». Selon les conditions de l’assurance choisie, le contrat peut être mis en pause durant une année, ou deux, si une situation provisoire défavorable à l’épargne arriverait (chômage par exemple).

La fiscalité (des salariés) :
Le 3a «lié» est déductible jusqu’à hauteur de CHF 7’056.- (2023) par personne et par année. Il est soumis à un impôt sur le capital à l’échéance (IPC) à concurrence de 8% maximum. Le 3b «libre», lui, est déductible de l’impôt cantonal et communal à Genève à concurrence de CHF 2’217.- par personne célibataire et par année (CHF 3’330.- pour un couple marié + CHF 900.- par enfant).
Dans le canton de Fribourg il est déductible à concurrence de CHF 750.- par personne célibataire et par année (CHF 1’500.- pour un couple marié). Le 3b «libre», lui, n’est pas imposé sur le capital à l’échéance. Lorsque l’on est imposé à Genève ou Fribourg, il est conseillé de commencer par le 3b «libre». Attention à sélectionner une société qui permet la transformation d’un 3b en 3a sans condition aggravante (perte des valeurs de rachat, refaire un QS, etc..).

Le 3a existe en banque et en assurance. Le 3b n’est pas reconnu en tant que tel en banque et ne l’est qu’en assurance.

Selon la situation personnelle et les besoins, il est conseillé de mettre en place un 3b en assurance, puis d’estimer le besoin en sécurité et de le garantir avec du 3a en assurance pour profiter de l’avantage fiscal complet du 3a en complétant au maximum des CHF 7’056.-/an avec du 3a bancaire flexible.

Comment calculer grossièrement notre gain ?

Si l’on prend un revenu brut annuel (yc bonus et autres) de CHF 90’000.- pour une personne célibataire sans enfant habitant sur Carouge (GE): cette personne payera, selon la situation, près de CHF 14’700.- d’impôts par an. En déduisant le 3a et le 3b à leur maximum donc un total de CHF 9’100.-/an, l’impôt final se réduit à un peu plus de CHF 11’900.-/an; ce qui représente une économie fiscale de CHF ~2’800.-/an. Ceci représente plus de 30% du montant injecté dans l’ensemble des 3ème piliers. Nous pouvons donc ici parler d’un taux marginal moyen de l’opération de 30%.

Seules quelques institutions permettent de faire un 3ème pilier en assurance. Sur l’Arc Lémanique, il s’agit des Rentes Genevoises, des Rentes Populaires (Vaud) et de Liechtenstein Life que nous recommandons pour leurs produits liés à des fonds de placement.

2ème pilier LPP

Le 2ème pilier comporte une partie épargne et une partie couverture des risques de décès et d’invalidité. C’est obligatoire dès qu’un revenu brut annuel dépasse les CHF 22’050.- (2023). L’employeur est chargé du choix de la caisse et des affiliations.

Les points importants à relever sont la rente et le capital retraite projetés, les rentes en cas d’invalidité et l’avoir de libre passage (= capital épargné). Ce qui permet de connaître le montant possible de retrait EPL (Encouragement à la Propriété du Logement), si vous désirez utiliser des fonds LPP pour votre résidence principale.

Si le plan de prévoyance le permet, le salarié peut décider d’effectuer des «rachats», eux-mêmes déductibles du revenu imposable. Ceci viendra accroitre l’avoir de libre passage. Attention à ne pas effectuer de rachat dans les 3 années avant un retrait (EPL ou autre), car le gain fiscal obtenu devra être remboursé.

En cas de changement d’employeur, il y a changement de caisse de pension.  Assurez-vous de bien transférer vos avoirs de libre passage dans la caisse de votre nouvel employeur. Il arrive que certains avoirs de libres passages puissent être transférés sur le compte de libre passage de son choix.

Lorsqu’un frontalier arrête son activité professionnelle en Suisse, il a la possibilité de retirer la partie sur obligatoire de sa LPP et d’en disposer librement. La partie obligatoire doit rester sur un compte de libre passage ou être injectée dans un outil de prévoyance étranger reconnu.

Nous vous aidons à rassembler tous vos avoirs de libres passages et à déterminer la meilleure option pour les placer.

1er pilier AI / AVS

Le 1er pilier est composé d’une partie retraite (AVS) et d’une partie couverture des risques (AI). Les prestations complémentaires (PC), l’assurance chômage (AC), l’assurance maternité (LAMat) et les allocations familiales (AF) représentent les Assurances Sociales. Contrairement au 2ème et 3ème pilier, le 1er pilier est sous le principe de répartition, les cotisations de l’année servent au paiement des rentes de la même année.

Chaque résident et travailleur Suisse est obligatoirement assuré par le 1er pilier. Les rentes attendues de celui-ci ont un seuil et un plafond. Elles dépendent principalement du nombre d’années de cotisations, des enfants à charge (BTE) et des revenus bruts gagnés dès l’âge de 21 ans. Les rentes complètes vont de CHF 1’225.- à CHF 2’450.- par mois (2023). Un revenu moyen déterminant de CHF 88’200.- (2023) minimum est nécessaire pour obtenir une rente maximale.

Grâce à notre Robot Advisor Prévoyance, vous pouvez calculer votre besoin approximatif en prévoyance.

Prévoyance

 

3ème pilier

Le 3ème pilier, aussi appelé prévoyance privée, se distingue en deux types:
le 3a, dit «lié», et le 3b, dit «libre».

Calculez vos besoins en prévoyance

Le 3a, comme la LPP, ne peut être retiré avant l’âge de la retraite sauf pour 6 raisons: l’achat d’un logement, dans les 12 premiers mois d’ouverture d’une raison individuelle, en cas d’invalidité, en quittant définitivement la Suisse ou aussi, 5 ans avant l’âge de la retraite pour l’anticiper (en cas de décès les capitaux reviennent aux héritiers).

Grâce à notre Robot Advisor Prévoyance, vous pouvez calculer votre besoin approximatif en prévoyance.

Deux institutions nous permettent de faire un 3ème pilier : La Banque et l’Assurance.

Pour atteindre cet objectif il faut épargner plus ou moins longtemps. Durant ce laps de temps, il se passera une multitude d’évènements de la vie courante qui pourrait mettre à mal cette épargne. Il est donc important de relever plusieurs points entre ce que peuvent proposer ces deux entités.

La sécurité :
En Banque, s’il arrive une incapacité de travailler, il ne sera certainement pas possible de continuer l’épargne et personne ne s’en chargera. L’objectif ne sera donc pas atteint.

En assurance, dans une situation similaire, c’est elle qui couvrira le paiement des primes; vous garantissant ainsi d’atteindre l’objectif. Il est aussi possible, si la situation le demande, d’ajouter une rente en cas d’incapacité de travailler et un capital en cas de décès.

La flexibilité:
En Banque, l’avantage est de pouvoir procéder à des versements très flexibles. Si une année est propice à l’épargne ou non, il est possible d’adapter en conséquence.

L’Assurance, quant à elle, demande une certaine régularité. Il est donc important de sélectionner un montant proche de l’objectif demandé, mais qui soit assumable tous les mois. Naturellement, il est en tout temps possible d’augmenter cette épargne. Mais une augmentation d’un 3ème pilier en assurance est soumise à un questionnaire médical. Comme pour les assurances maladies complémentaires, les assureurs peuvent ainsi accepter à des conditions aggravantes (réserves), voir refuser si l’état de santé ne convient pas.

Il est aussi possible de le diminuer. Mais attention aux valeurs de rachat. En effet, durant les premières années, l’assurance doit mettre des réserves considérables de côté sur les cotisations pour garantir tous les risques (mutualisation). Ce n’est que les années suivantes que l’assurance pourra redistribuer petit à petit ces réserves non utilisées sous forme «d’excédents». Selon les conditions de l’assurance choisie, le contrat peut être mis en pause durant une année, ou deux, si une situation provisoire défavorable à l’épargne arriverait (chômage par exemple).

La fiscalité (des salariés) :
Le 3a «lié» est déductible jusqu’à hauteur de CHF 7’056.- (2023) par personne et par année. Il est soumis à un impôt sur le capital à l’échéance (IPC) à concurrence de 8% maximum. Le 3b «libre», lui, est déductible de l’impôt cantonal et communal à Genève à concurrence de CHF 2’217.- par personne célibataire et par année (CHF 3’330.- pour un couple marié + CHF 900.- par enfant).
Dans le canton de Fribourg il est déductible à concurrence de CHF 750.- par personne célibataire et par année (CHF 1’500.- pour un couple marié). Le 3b «libre», lui, n’est pas imposé sur le capital à l’échéance. Lorsque l’on est imposé à Genève ou Fribourg, il est conseillé de commencer par le 3b «libre». Attention à sélectionner une société qui permet la transformation d’un 3b en 3a sans condition aggravante (perte des valeurs de rachat, refaire un QS, etc..).

Le 3a existe en banque et en assurance. Le 3b n’est pas reconnu en tant que tel en banque et ne l’est qu’en assurance.

Selon la situation personnelle et les besoins, il est conseillé de mettre en place un 3b en assurance, puis d’estimer le besoin en sécurité et de le garantir avec du 3a en assurance pour profiter de l’avantage fiscal complet du 3a en complétant au maximum des CHF 7’056.-/an avec du 3a bancaire flexible.

Comment calculer grossièrement notre gain ?

Si l’on prend un revenu brut annuel (yc bonus et autres) de CHF 90’000.- pour une personne célibataire sans enfant habitant sur Carouge (GE): cette personne payera, selon la situation, près de CHF 14’700.- d’impôts par an. En déduisant le 3a et le 3b à leur maximum donc un total de CHF 9’100.-/an, l’impôt final se réduit à un peu plus de CHF 11’900.-/an; ce qui représente une économie fiscale de CHF ~2’800.-/an. Ceci représente plus de 30% du montant injecté dans l’ensemble des 3ème piliers. Nous pouvons donc ici parler d’un taux marginal moyen de l’opération de 30%.

Seules quelques institutions permettent de faire un 3ème pilier en assurance. Sur l’Arc Lémanique, il s’agit des Rentes Genevoises, des Rentes Populaires (Vaud) et de Liechtenstein Life que nous recommandons pour leurs produits liés à des fonds de placement.

2ème pilier LPP

Le 2ème pilier comporte une partie épargne et une partie couverture des risques de décès et d’invalidité. C’est obligatoire dès qu’un revenu brut annuel dépasse les CHF 22’050.- (2023). L’employeur est chargé du choix de la caisse et des affiliations.

Les points importants à relever sont la rente et le capital retraite projetés, les rentes en cas d’invalidité et l’avoir de libre passage (= capital épargné). Ce qui permet de connaître le montant possible de retrait EPL (Encouragement à la Propriété du Logement), si vous désirez utiliser des fonds LPP pour votre résidence principale.

Si le plan de prévoyance le permet, le salarié peut décider d’effectuer des «rachats», eux-mêmes déductibles du revenu imposable. Ceci viendra accroitre l’avoir de libre passage. Attention à ne pas effectuer de rachat dans les 3 années avant un retrait (EPL ou autre), car le gain fiscal obtenu devra être remboursé.

En cas de changement d’employeur, il y a changement de caisse de pension.  Assurez-vous de bien transférer vos avoirs de libre passage dans la caisse de votre nouvel employeur. Il arrive que certains avoirs de libres passages puissent être transférés sur le compte de libre passage de son choix.

Lorsqu’un frontalier arrête son activité professionnelle en Suisse, il a la possibilité de retirer la partie sur obligatoire de sa LPP et d’en disposer librement. La partie obligatoire doit rester sur un compte de libre passage ou être injectée dans un outil de prévoyance étranger reconnu.

Nous vous aidons à rassembler tous vos avoirs de libres passages et à déterminer la meilleure option pour les placer.

1er pilier AI / AVS

Le 1er pilier est composé d’une partie retraite (AVS) et d’une partie couverture des risques (AI). Les prestations complémentaires (PC), l’assurance chômage (AC), l’assurance maternité (LAMat) et les allocations familiales (AF) représentent les Assurances Sociales. Contrairement au 2ème et 3ème pilier, le 1er pilier est sous le principe de répartition, les cotisations de l’année servent au paiement des rentes de la même année.

Chaque résident et travailleur Suisse est obligatoirement assuré par le 1er pilier. Les rentes attendues de celui-ci ont un seuil et un plafond. Elles dépendent principalement du nombre d’années de cotisations, des enfants à charge (BTE) et des revenus bruts gagnés dès l’âge de 21 ans. Les rentes complètes vont de CHF 1’225.- à CHF 2’450.- par mois (2023). Un revenu moyen déterminant de CHF 88’200.- (2023) minimum est nécessaire pour obtenir une rente maximale.

Grâce à notre Robot Advisor Prévoyance, vous pouvez calculer votre besoin approximatif en prévoyance.

Investissement

 

Placement

Que faire avec mes fonds pour qu’ils soient profitables sans prendre trop de risque ?

Il existe la gestion de fortune avec des placements de capitaux sur les marchés cotées ou non. Mais l’expérience nous dit que seule une minorité d’investisseurs se sent à l’aise dans un marché très volatile et changeant. A défaut de prise de confiance envers un gérant de fortune, nombreux sont ceux à garder une liquidité élevée sur les comptes. Alors qu’entre inflation et frais bancaires, ne pas s’appauvrir reste un enjeu.

C’est pourquoi, nous proposons de viser des investissements plus «palpables» et stables à l’aide de l’immobilier, de rendement locatif et de promotion immobilière.

Quoi de plus concret que d’acheter un petit immeuble ou de contribuer à sa construction ? Trop cher direz vous ? Dans l’Arc Lémanique, certes. Mais la Suisse est vaste, les prix peuvent être plus abordables et les rendements plus appropriés dans d’autres régions de Suisse Romande.

Nous proposons ainsi des investissements à faible volatilité au sein de divers projets immobilier en Suisse Romande promettant des rendements entre 5% et 10% par année.

Prenez contact pour connaître nos projets en cours.

Création de capitaux

Que nos projets soient immobiliers, entrepreneuriales, sabbatiques ou simplement financiers, un capital de départ relativement élevé est systématiquement nécessaire. Ainsi, lorsque nous n’avons pas encore la chance d’avoir un tel capital, le constituer par l’épargne est souvent la seule manière d’atteindre nos objectifs.

Pour ce faire, il est conseillé de se baser sur le principe d’objectif «SMART» et de commencer par se fixer un capital à atteindre (S) sur une certaine durée (T) et d’établir un budget (A&R) pour permettre de déterminer un montant à épargner tous les mois de manière régulière (M).

Une fois le montant de l’épargne mensuelle établi, suivant la durée prévue, il est plus pertinent de verser ses mensualités sur un compte investi en fonds de placement plutôt que sur un simple compte épargne. Ceci permet de profiter des intérêts composés.

En effet, en comparant une épargne de CHF 500.- au sein d’un compte épargne standard et d’un compte investi avec 3.5% de rendement net annuel, en 10 ans c’est un gain de plus de CHF 15’000.- qui sera fait. Sur 20 ans c’est plus de CHF 75’000.- de gain probable et en 30 ans le capital injecté devrait plus que doubler pour atteindre presque CHF 400’000.-.

Laissez vous motiver par notre Robot Advisor Placement avec son calculateur d’intérêts composés sur l’épargne.

Investissement

Placement

Que faire avec mes fonds pour qu’ils soient profitables sans prendre trop de risque ?

Il existe la gestion de fortune avec des placements de capitaux sur les marchés cotées ou non. Mais l’expérience nous dit que seule une minorité d’investisseurs se sent à l’aise dans un marché très volatile et changeant. A défaut de prise de confiance envers un gérant de fortune, nombreux sont ceux à garder une liquidité élevée sur les comptes. Alors qu’entre inflation et frais bancaires, ne pas s’appauvrir reste un enjeu.

C’est pourquoi, nous proposons de viser des investissements plus «palpables» et stables à l’aide de l’immobilier, de rendement locatif et de promotion immobilière.

Quoi de plus concret que d’acheter un petit immeuble ou de contribuer à sa construction ? Trop cher direz vous ? Dans l’Arc Lémanique, certes. Mais la Suisse est vaste, les prix peuvent être plus abordables et les rendements plus appropriés dans d’autres régions de Suisse Romande.

Nous proposons ainsi des investissements à faible volatilité au sein de divers projets immobilier en Suisse Romande promettant des rendements entre 5% et 10% par année.

Prenez contact pour connaître nos projets en cours.

Création de capitaux

Que nos projets soient immobiliers, entrepreneuriales, sabbatiques ou simplement financiers, un capital de départ relativement élevé est systématiquement nécessaire. Ainsi, lorsque nous n’avons pas encore la chance d’avoir un tel capital, le constituer par l’épargne est souvent la seule manière d’atteindre nos objectifs.

Pour ce faire, il est conseillé de se baser sur le principe d’objectif «SMART» et de commencer par se fixer un capital à atteindre (S) sur une certaine durée (T) et d’établir un budget (A&R) pour permettre de déterminer un montant à épargner tous les mois de manière régulière (M).

Une fois le montant de l’épargne mensuelle établi, suivant la durée prévue, il est plus pertinent de verser ses mensualités sur un compte investi en fonds de placement plutôt que sur un simple compte épargne. Ceci permet de profiter des intérêts composés.

En effet, en comparant une épargne de CHF 500.- au sein d’un compte épargne standard et d’un compte investi avec 3.5% de rendement net annuel, en 10 ans c’est un gain de plus de CHF 15’000.- qui sera fait. Sur 20 ans c’est plus de CHF 75’000.- de gain probable et en 30 ans le capital injecté devrait plus que doubler pour atteindre presque CHF 400’000.-.

Laissez vous motiver par notre Robot Advisor Placement avec son calculateur d’intérêts composés sur l’épargne.

Immobilier

 

Faisabilité

Vous souhaitez acquérir un bien en France ? Prenez contact avec un de nos partenaires Français.

Pour acquérir son propre logement en Suisse, le premier point est de savoir de quel budget on dispose. Pour le déterminer, les critères principaux seront les revenus bruts annuels et la liquidité pouvant être amenée.

Il faut compter pas moins de 25% du prix d’achat pour prendre en charge les frais d’aliénation ~5% (frais de notaire, droit de mutation, cédule, etc..) et injecter au minimum 20% dans l’achat, le reste pouvant provenir d’une hypothèque. Sur ces 20% minimum, la moitié au maximum peut provenir d’un retrait EPL du 2ème pilier.

Il est extrêmement rare d’acquérir un logement avec 100% d’apport, une hypothèque (crédit immobilier) est pratiquement toujours nécessaire. Pour l’obtenir, l’institution de prêt va procéder à un calcul de faisabilité en fonction des revenus et des charges théoriques. Pour que le crédit soit accepté, les charges théoriques du logement ne doivent pas dépasser le tiers du revenu brut déterminant. Pour le calcul de ces charges théoriques, la plupart des institutions retiennent 5% d’intérêt hypothécaire sur la dette, 1% du prix d’achat pour l’entretien et un amortissement sur 15 ans de la partie de la dette dépassant les 66%.

Consultez notre Robot Advisor Immobilier pour calculer votre capacité probable d’achat.

Pour les biens de rendement locatif, le principe reste le même sauf que ce sont les loyers qui doivent supporter au minimum 100% des charges théoriques et qu’il est rare de pouvoir financer plus de 70% du prix d’achat. Il s’agit donc d’avoir un apport plus élevé et des rendements locatifs suffisants.

Planification d'acquisition immobilière

Pour tout type de projet immobilier, un capital de départ relativement élevé est systématiquement nécessaire. Ainsi, lorsque nous n’avons pas encore la chance d’avoir un tel capital, le constituer par l’épargne est souvent la seule manière d’atteindre nos objectifs.

Se référer à l’onglet : Création de capitaux

Owner Buy Out

Vous êtes propriétaire d’un ou plusieurs biens de rendement locatif en Suisse et/ou en France ? Vous souhaitez libérer des capitaux sans devoir solder votre patrimoine immobilier ? Alors l’OBO (Owner Buy Out) est fait pour vous.

Le principe est de vendre son bien de rendement à sa propre société (SA) créée pour l’occasion. Cette dernière va pouvoir contracter une hypothèque pour racheter le bien. Les fonds ainsi débloqués permettront de rembourser l’hypothèque initiale et le solde restera à libre disposition du propriétaire.

La propriété devenue indirecte, il est plus aisé de gérer la répartition de l’hoirie (héritage) ou l’association par la répartition d’actions de la société et non par des parts de copropriété. La fiscalité courante en devient plus optimisée par la déduction de toutes les charges y compris d’assurance et d’amortissement de la dette (possible à certaines conditions) et par une imposition sur le bénéfice (~15%) et non par une imposition sur le revenu privé (généralement ~35% selon le taux marginal) et bien d’autres avantages.

Bien qu’il soit souvent intéressant d’acquérir une société possédant un immeuble (SI) par le fait de ne pas payer de droits de mutation (communément appelé frais de notaire), il s’agit tout de même de faire attention aux impôts latents existants entre la valeur comptable et la valeur vénale du ou des bien(s) immobilier(s). Présentation d’un OBO

Hypothèque

Une hypothèque, «Mortgage» en Anglais, est un crédit lié à une garantie immobilière, elle-même représentée par un papier valeur (Cédule).

En France, le système n’est pas sur le principe de l’hypothèque mais du crédit immobilier. La principale différence avec l’hypothèque est que le crédit immobilier se prévoit d’être amorti à 100% sur plusieurs dizaines d’années et, qu’à ce titre, les intérêts de toute la durée du crédit se payent généralement avant de commencer le remboursement de la dette.

En Suisse, il est généralement possible d’obtenir et de garder ce crédit avec un taux Libre, Saron (anciennement Libor) ou fixe sur une durée allant de 2 à 15 ans parfois même jusqu’à 25 ans (rare). Des modèles dérivés peuvent aussi être proposés par les banques.

Pour l’acquisition de son propre logement, il est possible d’aller jusqu’à 80% d’emprunt sur le prix d’achat du bien. Dans cette situation, le prêt sera divisé en deux rangs : le premier étant de 65% et le deuxième de 15%. Le premier rang n’a pas la nécessité d’être amorti (remboursé) mais le deuxième doit l’être en 15 ans maximum.

Pour ce faire, il est possible d’amortir le 2ème rang de manière directe ou indirecte. Il est le plus souvent conseillé d’amortir de manière indirecte à l’aide d’un 3ème pilier en assurance. L’avantage est de permettre d’optimiser la fiscalité, puisque les versements au 3a sont déductibles tout en garantissant l’amortissement de son bien même en cas d’invalidité ou de décès du débiteur.

Nous déconseillons de mettre en place des hypothèques à taux fixe en plusieurs tranches de durées différentes. En effet, même si le prétexte du risque de l’évolution des taux peut séduire, il faut prendre en considération le fait que cette manière de faire bloque l’emprunteur auprès de la même banque (ou autre) sans pouvoir y réchapper autrement qu’en rassemblant toutes les tranches à la même échéance.

Diverses institutions peuvent proposer des hypothèques. Il y a les banques mais aussi les assurances et certaines caisses de pension et institution spécialisées. De manière générale, les banques sont plus souples quant à l’acceptation de dossiers mais proposent des taux plus élevés que les autres institutions. Nous conseillons  de financer l’acquisition avec une banque et le refinancement quelques années plus tard avec une assurance ou une caisse de pension.

Immobilier

 

Faisabilité

Vous souhaitez acquérir un bien en France ? Prenez contact avec un de nos partenaires Français.

Pour acquérir son propre logement en Suisse, le premier point est de savoir de quel budget on dispose. Pour le déterminer, les critères principaux seront les revenus bruts annuels et la liquidité pouvant être amenée.

Il faut compter pas moins de 25% du prix d’achat pour prendre en charge les frais d’aliénation ~5% (frais de notaire, droit de mutation, cédule, etc..) et injecter au minimum 20% dans l’achat, le reste pouvant provenir d’une hypothèque. Sur ces 20% minimum, la moitié au maximum peut provenir d’un retrait EPL du 2ème pilier.

Il est extrêmement rare d’acquérir un logement avec 100% d’apport, une hypothèque (crédit immobilier) est pratiquement toujours nécessaire. Pour l’obtenir, l’institution de prêt va procéder à un calcul de faisabilité en fonction des revenus et des charges théoriques. Pour que le crédit soit accepté, les charges théoriques du logement ne doivent pas dépasser le tiers du revenu brut déterminant. Pour le calcul de ces charges théoriques, la plupart des institutions retiennent 5% d’intérêt hypothécaire sur la dette, 1% du prix d’achat pour l’entretien et un amortissement sur 15 ans de la partie de la dette dépassant les 66%.

Consultez notre Robot Advisor Immobilier pour calculer votre capacité probable d’achat.

Pour les biens de rendement locatif, le principe reste le même sauf que ce sont les loyers qui doivent supporter au minimum 100% des charges théoriques et qu’il est rare de pouvoir financer plus de 70% du prix d’achat. Il s’agit donc d’avoir un apport plus élevé et des rendements locatifs suffisants.

Planification d'acquisition immobilière

Pour tout type de projet immobilier, un capital de départ relativement élevé est systématiquement nécessaire. Ainsi, lorsque nous n’avons pas encore la chance d’avoir un tel capital, le constituer par l’épargne est souvent la seule manière d’atteindre nos objectifs.

Se référer à l’onglet : Création de capitaux

Owner Buy Out

Vous êtes propriétaire d’un ou plusieurs biens de rendement locatif en Suisse et/ou en France ? Vous souhaitez libérer des capitaux sans devoir solder votre patrimoine immobilier ? Alors l’OBO (Owner Buy Out) est fait pour vous.

Le principe est de vendre son bien de rendement à sa propre société (SA) créée pour l’occasion. Cette dernière va pouvoir contracter une hypothèque pour racheter le bien. Les fonds ainsi débloqués permettront de rembourser l’hypothèque initiale et le solde restera à libre disposition du propriétaire.

La propriété devenue indirecte, il est plus aisé de gérer la répartition de l’hoirie (héritage) ou l’association par la répartition d’actions de la société et non par des parts de copropriété. La fiscalité courante en devient plus optimisée par la déduction de toutes les charges y compris d’assurance et d’amortissement de la dette (possible à certaines conditions) et par une imposition sur le bénéfice (~15%) et non par une imposition sur le revenu privé (généralement ~35% selon le taux marginal) et bien d’autres avantages.

Bien qu’il soit souvent intéressant d’acquérir une société possédant un immeuble (SI) par le fait de ne pas payer de droits de mutation (communément appelé frais de notaire), il s’agit tout de même de faire attention aux impôts latents existants entre la valeur comptable et la valeur vénale du ou des bien(s) immobilier(s). Présentation d’un OBO

Hypothèque

Une hypothèque, «Mortgage» en Anglais, est un crédit lié à une garantie immobilière, elle-même représentée par un papier valeur (Cédule).

En France, le système n’est pas sur le principe de l’hypothèque mais du crédit immobilier. La principale différence avec l’hypothèque est que le crédit immobilier se prévoit d’être amorti à 100% sur plusieurs dizaines d’années et, qu’à ce titre, les intérêts de toute la durée du crédit se payent généralement avant de commencer le remboursement de la dette.

En Suisse, il est généralement possible d’obtenir et de garder ce crédit avec un taux Libre, Saron (anciennement Libor) ou fixe sur une durée allant de 2 à 15 ans parfois même jusqu’à 25 ans (rare). Des modèles dérivés peuvent aussi être proposés par les banques.

Pour l’acquisition de son propre logement, il est possible d’aller jusqu’à 80% d’emprunt sur le prix d’achat du bien. Dans cette situation, le prêt sera divisé en deux rangs : le premier étant de 65% et le deuxième de 15%. Le premier rang n’a pas la nécessité d’être amorti (remboursé) mais le deuxième doit l’être en 15 ans maximum.

Pour ce faire, il est possible d’amortir le 2ème rang de manière directe ou indirecte. Il est le plus souvent conseillé d’amortir de manière indirecte à l’aide d’un 3ème pilier en assurance. L’avantage est de permettre d’optimiser la fiscalité, puisque les versements au 3a sont déductibles tout en garantissant l’amortissement de son bien même en cas d’invalidité ou de décès du débiteur.

Nous déconseillons de mettre en place des hypothèques à taux fixe en plusieurs tranches de durées différentes. En effet, même si le prétexte du risque de l’évolution des taux peut séduire, il faut prendre en considération le fait que cette manière de faire bloque l’emprunteur auprès de la même banque (ou autre) sans pouvoir y réchapper autrement qu’en rassemblant toutes les tranches à la même échéance.

Diverses institutions peuvent proposer des hypothèques. Il y a les banques mais aussi les assurances et certaines caisses de pension et institution spécialisées. De manière générale, les banques sont plus souples quant à l’acceptation de dossiers mais proposent des taux plus élevés que les autres institutions. Nous conseillons  de financer l’acquisition avec une banque et le refinancement quelques années plus tard avec une assurance ou une caisse de pension.

Impôts

 

Optimisation fiscale

L’optimisation fiscale pour la majorité se résume à réduire au maximum son revenu imposable. En effet, la fortune mobilière n’étant réellement imposée qu’après plusieurs millions, les optimisations recherchées sur celle-ci ont souvent des effets bagatelle.

L’objectif va être de chercher à injecter son épargne dans des actions, qui vont être déduites de nos revenus imposables. Attention à ne pas faire retomber le taux marginal trop bas, pour que cette injection reste suffisamment rentable pour bloquer les fonds.

Nous parlons ici d’injection dans la LPP (rachats), de 3ème pilier, de travaux d’entretien, de rénovation et parfois d’amélioration énergétique (vitrages, panneaux solaires, enveloppe, géothermie, etc..) de nos bâtiments et donations à des institutions de bienfaisance, principalement.

Estimez vos impôts grâce au calculateur fiscal fédéral présent sur notre Robot Advisor Impôts.

Déclaration d'impôts

Nous proposons d’effectuer vos rectifications fiscales, Taxations Ordinaires Ultérieures (TOU) et déclarations fiscales Françaises.

Nous effectuons nous-même la plupart des déclarations que l’on nous confie. Seules les parties complexes de quelques déclarations sont effectuées par des experts fiscaux. Ceci nous permet d’effectuer des déclarations fiscales de haute qualité tout en garantissant des prix plus qu’abordables.

Tarifs de base :

  • CHF 99.- pour une personne seule
  • CHF 179.- pour un couple marié
  • + CHF 99.- par bien immobilier
  • + CHF 99.- par portefeuille d’investissement
  • + CHF 99.- par entreprise pour les propriétaires d’entreprises
  • 1h de présentation et recommandations offerte

Impôts

Optimisation fiscale

L’optimisation fiscale pour la majorité se résume à réduire au maximum son revenu imposable. En effet, la fortune mobilière n’étant réellement imposée qu’après plusieurs millions, les optimisations recherchées sur celle-ci ont souvent des effets bagatelle.

L’objectif va être de chercher à injecter son épargne dans des actions, qui vont être déduites de nos revenus imposables. Attention à ne pas faire retomber le taux marginal trop bas, pour que cette injection reste suffisamment rentable pour bloquer les fonds.

Nous parlons ici d’injection dans la LPP (rachats), de 3ème pilier, de travaux d’entretien, de rénovation et parfois d’amélioration énergétique (vitrages, panneaux solaires, enveloppe, géothermie, etc..) de nos bâtiments et donations à des institutions de bienfaisance, principalement.

Estimez vos impôts grâce au calculateur fiscal fédéral présent sur notre Robot Advisor Impôts.

Déclaration d'impôts

Nous proposons d’effectuer vos rectifications fiscales, Taxations Ordinaires Ultérieures (TOU) et déclarations fiscales Françaises.

Nous effectuons nous-même la plupart des déclarations que l’on nous confie. Seules les parties complexes de quelques déclarations sont effectuées par des experts fiscaux. Ceci nous permet d’effectuer des déclarations fiscales de haute qualité tout en garantissant des prix plus qu’abordables.

Tarifs de base :

  • CHF 99.- pour une personne seule
  • CHF 179.- pour un couple marié
  • + CHF 99.- par bien immobilier
  • + CHF 99.- par portefeuille d’investissement
  • + CHF 99.- par entreprise pour les propriétaires d’entreprises
  • 1h de présentation et recommandations offerte

Planification retraite

 

Calcul des rentes

La loi prévoit que l’AVS nous versera une rente de, à ce jour, maximum CHF 2’450.- (2023). Vient s’ajouter à cela la rente de notre 2ème pilier (LPP). La loi prévoit que les deux rentes cumulées représentent 60% de notre dernier revenu. Malheureusement, ceci est de moins en moins atteignable et avec le renchérissement de moins en moins suffisant.
Ainsi, planifier sa retraite doit se faire à tout âge et de manière régulière et flexible dans un monde qui bouge sans cesse.

Nous proposons ainsi aux personnes de 50 à 70 ans de planifier précisément leur retraite à l’aide du logiciel reconnu Logismata.

Concernant les plus jeunes, nous pouvons calculer leur besoin en prévoyance lors d’un entretien d’analyse ou de l’estimer approximativement à l’aide de notre Robot Advisor Prévoyance.

Recherche d'avoir LPP

Il n’est pas rare que des avoirs de libre passage LPP aient été oubliés. En effet, c’est plus de 15 Milliards de Francs Suisses sur des comptes de libres passages qui sont gérés par l’institution supplétive LPP. La plupart de ces fonds ne sont pas là par choix mais simplement par ignorance. Si ces avoirs ne sont pas réclamés par leurs propriétaires avant l’âge de 75 ans, ils sont injectés au sein du fond de garantie et sont ainsi perdus.

Nous vous aidons à rassembler tous vos avoirs de libres passages et à déterminer la meilleure option pour les placer.

Il suffit de compléter le formulaire de recherche d’avoirs de libre passage LPP, de le signer et de nous le retourner par e-mail. Nous contactons ensuite l’institution supplétive qui liste en quelques semaines toutes les institutions de prévoyance ayant un compte à votre nom. Une fois la liste exhaustive, nous vous proposons d’ouvrir le compte de libre passage de votre choix pour y rassembler tous vos avoirs LPP selon cette liste.

Planification retraite

 

Calcul des rentes

La loi prévoit que l’AVS nous versera une rente de, à ce jour, maximum CHF 2’450.- (2023). Vient s’ajouter à cela la rente de notre 2ème pilier (LPP). La loi prévoit que les deux rentes cumulées représentent 60% de notre dernier revenu. Malheureusement, ceci est de moins en moins atteignable et avec le renchérissement de moins en moins suffisant.
Ainsi, planifier sa retraite doit se faire à tout âge et de manière régulière et flexible dans un monde qui bouge sans cesse.

Nous proposons ainsi aux personnes de 50 à 70 ans de planifier précisément leur retraite à l’aide du logiciel reconnu Logismata.

Concernant les plus jeunes, nous pouvons calculer leur besoin en prévoyance lors d’un entretien d’analyse ou de l’estimer approximativement à l’aide de notre Robot Advisor Prévoyance.

Recherche d'avoir LPP

Il n’est pas rare que des avoirs de libre passage LPP aient été oubliés. En effet, c’est plus de 15 Milliards de Francs Suisses sur des comptes de libres passages qui sont gérés par l’institution supplétive LPP. La plupart de ces fonds ne sont pas là par choix mais simplement par ignorance. Si ces avoirs ne sont pas réclamés par leurs propriétaires avant l’âge de 75 ans, ils sont injectés au sein du fond de garantie et sont ainsi perdus.

Nous vous aidons à rassembler tous vos avoirs de libres passages et à déterminer la meilleure option pour les placer.

Il suffit de compléter le formulaire de recherche d’avoirs de libre passage LPP, de le signer et de nous le retourner par e-mail. Nous contactons ensuite l’institution supplétive qui liste en quelques semaines toutes les institutions de prévoyance ayant un compte à votre nom. Une fois la liste exhaustive, nous vous proposons d’ouvrir le compte de libre passage de votre choix pour y rassembler tous vos avoirs LPP selon cette liste.